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Y. Ferhi: Lamine Nahdi doit être un peu plus modeste

Le comédien, Younes Ferhi était l’invité de Hédi Zaïem dans Romdhane Show le soir du samedi 25 juin 2016. Ferhi  est revenu sur la sitcom, Nsibti Laâziza dont la saison 6 est diffusée par la chaine Nessma TV.


Younes Ferhi dit être ébahi de la critique acerbe qui vise Nsibti Laaziza. «  Lorsqu’un artiste dit que les comédiens de Nsibti Laaziza doivent trouver des solutions à leurs vies, je le considère comme un manque de respect. Nous faisons un travail humain mais aussi de création. Notre travail peut comprendre des failles. Les épisodes ne se valent pas tous et peuvent comprendre quelques monotonies. Nous acceptons la critique tant que c’est constructif. Mais ce qui fait mal, c’est que nous sommes peu d’artistes sur la scène et on critique juste pour critiquer.


Si on veut du nouveau, pourquoi l’on n’accepte pas qu’on le fasse au sein même da la sitcom ! Pourquoi devrions-nous arrêter si nous avons un public et si notre public est satisfait ! Nous avons un large public même en dehors de la Tunisie.  Et la critique constructive, on la prend en considération. Cette année, on défend des travaux qui ne méritent pas et qui sont très modestes comme warda w kteb et l’on veut que je ne défende pas Nsibti Laaziza qui est tout de même au deuxième rang !


Concernant le scénario, Ferhi dit qu’il le considère certes comme son fils, mais qu’une fois sur le plateau, il peut très bien « laisser mon fils à la crèche ». « On va créer un atelier pour l’écriture du scénario. On va ajouter de la fraicheur au travail et on va inviter d’autres pour y participer. Nonobstant, je ne peux pas être formel et confirmer qu’il y aura bien une septième saison.


Ferhi répond à Rostom, à Nahdi et à Belhaj

On n’a jamais prié quelqu’un pour travailler avec nous. On a invité Wajiha Jendoubi et elle a apporté un plus. Nous avons écrit un personnage et tout en sachant la position de Wajiha on a jugé qu’elle correspond au profil alors on l’a invité et elle a accepté.


Toutefois, en réponse à Hichem Rostom qui trouve que Nsibti Laaziza ne répond pas à son style, on lui dit qu’il est libre. Lamine Nahdi qui trouve qu’il n’y a pas de profil pouvant lui correspondre dans Nsibti Laaziza et je dois lui dire : ayez un peu de modestie. Et s’il ne prend pas une bonne dose d’oxygène, artistiquement parlant, il risque d’agoniser ou d’entrer en période de ménopause. Et je dis à Hatem Belhaj  qu’e s’il veut participer à la rédaction du scénario, il est le bienvenu.